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• Ptite météo d'abord?

• C'est quoi pifidic pour nous

Pourquoi et comment on est arrivé·es à pifidic — nos projets perso/en lien avec pifidic

Qu'est ce que ce lieu représente pour chacun·es (un lieu d'habitation, une coloc de pote, un collectif…) les valeurs qui lui sont associées etc …

quel type de lieu on aimerait que ce soit

• Comment on se sent, point météo

nos besoins, nos désirs

nos peurs, et nos limites sur ce lieu

Comment on se sent dans nos logements

(proposition de faire un tour de table un.e par un.e)

• Point communication groupe / prise de décision / orga générale

Comment on inclue dans la prise de décision les personnes absentes lors des temps d’échanges

Comment on se transmets les infos

décider sur une fréquence de réunion, sur un fonctionnement, sur des outils possibles à mettre en place

• Point thune

point sur la situation financière de chacun.e : quid de la proposition de mimi de payer moins car absente souvent de la maison ? quid du loyer de lichen maintenant qu'elle est habitante de la maison? …..

question des sous plus largement pour pifidic : pour acheter du matos pour pifidic, c'est quoi le fonctionnement jusque la, besoin de rendre plus visible les dépenses pour avoir une idée. Comment on se sent individuellement par rapport a ca, qui peut/ a envie d'investir des thunes dans les travaux, quelle sécurité on a les 6 personnes nouvelles sur les sous qu'on investie?

• Point bâtiment /travaux

Que faire de l'amiante et commencer des business plan pour savoir quoi en foutre et commencer à gérer ça

Les bâtiments qui s'écroulent, que faire pour sécuriser au max et les projets de rénovations

Potes d'uli ont proposé de faire des chantiers enduit terre sur la maison du milieu, on est ok ? comment on s'orga

Comment fonctionner sur des chantiers collectifs, au vu des nombreuses personnalités différentes, ou certain.es personnes ne se sentent pas a l'aise.

Rebornage du terrain avec un géomètre à mettre en place bientôt pour pouvoir garder le terrain comme il est (voir l'agrandir + relation avec le voisin)

• Point animaux

La gestion des chèvres, surtout uli qui s'en occupe ajd, quelle orga mettre en place pour rééquilibrer cette charge, question des thunes aussi (foin par exemple)

Il y a des trucs a dire sur les chiens ?

Est-ce qu'on prendrais pas des petites poules ? Qui prend la charge mentale des animaux ? Nettoyage/nourriture/présence Est ce qu'on s'occuperait pas mieux des animaux déjà présents avant de se charger d'autres?

• Organisation de l'espace

gestion des différents espaces, redéfinir la notion d'espace collectif, espace privé, parler de la gestion de la maison bar, des ateliers en haut

concernant les espaces qu'on aimerait voir investi par d'autres personnes, est ce qu'on en a envie, comment on ouvre l'espace et qu'est ce qu'on leur propose en contre partie qui aille à tout le monde.

planning de personnes qui passent à la maison pour organiser le sleeping

les prochains sujets à aborder : création d'une asso ?

• Prochaine réu qd ??? ahahah
  • A quelle fréquence ?

• Lecture de l'odj, discussion rapide sur la prise de note et la transmission de l'information

• C'est quoi pfidic pour nous

• élie:

Comme tout le monde, affectée par ce qui s'est passé en réel et sur le groupe. Du mieux récemment. Beaucoup d'attente avec la réunion.

Pour elle, pifidic c'est un collectif.

Coté besoin, matériellement :des occupations, et pifidic repond un peu tout seul. ne pas à hésiter à venir travailler avec elle, la soliciter, car elle aime travailler avec d'autres personnes. Elle demande un cadre d'organisation collective (prioritaire).

Se sent bien installée.

Pas intéressée par d'autre espace privé que sa chambre, et hâte d'avoir un salon/esapce collectif.

Réaction face au message de lulu comme quoi on est pas politisé: “J'aime bien la définition de Sam d'être politisé “s'organiser avec des gens contre la chaos” j'aimerais juste preciser que pour moi cette ” organisation “ c'est pas que faire des manif, des actions. Mais aussi plein de chose chez nous, j'ai envie de dire que tout est politique pifidic aussi, que ce soit en lien avec l'accueil d'autres personnes et les décisions qu'on prend a ce niveau la, comment on se place localement avec les problematiques de logement. Ou même dans nos propres comportements et relations interpersonnelles. Que si on mets pas consciemment de l'énergie pour que ça arrive pas, alors on reproduit des dominations/oppressions. Que j'ai pas portée cette parole là jusqu'à maintenant ( même je me rends compte que j'ai pas mal laisser cette charges a Alix , merci). Mais que j'y suis sensible” .

• Jeanne:

Situation particulière avec la formation/stage: peu de temps pour investir le lieu, fatigue…

Se sent un peu coupable de pas être là pour le début.

Les attentes sont de trouver un lieu de vie, que chacune se sente bien se qui prend du temps, que se soit pour tous se rencontrer, prendre possession des lieux et fixer nos envies, idées et investissement dans le/s projet/s defini/s.

L'idée est de vivre en collectif, tout en prenant le temps de faire ça bien.

Elle a peur de pas être assez présente quand tout se met en place.

Envie d'avoir le bar associatif, de mettre en place des évènements.

De facto l'engagement politique est présent, même si tout n'est pas partagé, ce qui pour moi n'est pas un problème mais une richesse, tant bien sur que des valeurs générales sont portées par tous.

Ne souhaite pas se voir définie par les actions politiques.

Demande un temps de discussion dans la matinée sur tous les échanges qui ont eu lieu sur le groupe.

• lulu:

exprime que c'est compliqué de parler en groupe.

pifidic devrait être un endroit où on se sent tous bien, est venue avec des gens qui l'ont prise comme elle est et se sent en sûreté.

la peur du conflit (et l'affectation de l'état) rend difficile le fait de venir discuter.

A pris cher courant décembre sur des chose qu'elle est et s'est sentie mal dans son quotidien, ne s'est pas vraiment sentie chez elle.

Ne souhaite pas se sentir jugée pour ce qu'elle est et ne souhait pas que ça arrive aux autres.

aimerait avoir un lieu ressource.

Ok dans la maison, pas l'habitude de jardin, sort peu par habitude.

• likken:

arrivée un peu par hasard, a apprécié le lieu.

Pifidic représente une base, ce n'est pas très clair sur l'engagement, qui peut aller de l'endroit de repli à un endroit d'habitation.

Ou un collectif où on s'organise avec tlm. Souple sur ce qui peut se passer. Possiblement un entre 2.

Sent que des valeurs sont partagées avec quelques personnes.

Dissension sur l'antispécisme, ce qui met mal à l'aise, n'est pas dogmatique pour autant.

Se sent vite à l'aise du coup à peur de prendre trop de place.

Aussi le fait d'être en vadrouille fait que la place prise est vide lorsque absente.

Peur des dynamiques de pouvoir qui pourraient arriver.

Peur d'isolation et d'entre soi qui serait un piège, ce qui pourrait déjà être un peu le cas.

Peur de l'effet de conflits personnels.

Rêves ?: aimerait créer un lieu collectif où faire des trucs avec toutses.

Aimerait créer un climat social sain où on peut dire les choses.

Aimerait accueillir des personnes qui ont pas forcément accès à ce genre de lieu.

Besoin: espace perso un peu calme quand elle est là. un esapce cool où passer du temps avec tlm. Un espace pour stocker qqs trucs.

Peu de revenus en ce moment donc moyens limité spour les charges.

limites: n'aime pas qu'on organise l'exploitation animale en sa présence. ok pour le logement, aimerait une cabane.

• alix:

pifidic, c'est un peu un conflit intérieur. Au début projet d'un lieu d'habitation.

Finalement le fait d'être propriétaire dans un lieu tendu génère des angoisses(..). Le fonctionnement à 6 passait même si quelques tension. Mais c'était bien à cause d'aventure à la zad. à plus que 6, c'était pas clair qu'on avait pas d'organisation. ça a un peu impliqué les soucis d'aujourd'hui, d'autant qu'on a mis du temps à s'organiser.

ça l'a rassuré la discussion avec mylène: on a pas fait dans le sens habituel, se qui a pu générer de l'incompréhension (…).

Le projet initial a évolué trop vite pour qu'il soit adapté au lieu, par excitation on a sauté sur le lieu sans réfléchir, vu que d'habitude ça marchait bien.

Est très content de vivre à pifidic et exprime des attentes sur cette journée.

Reparle du concept de politisation: ne pas laisser faire les choses sans réfléchir (notamment sur la fréquentation des personnes extérieures, ouverture à des personnes qui n'ont pas accès a ce genre de lieu, éviter l'entre soi

Ce genre de chose qu'on peut discuter en plus petit comité.

A la peur qu'on ait un lieu chiant, peur perçue comme partagée par des gens extérieurs.

Est bien dans la maison mais souhaite faire une cabane. La maison est bien, mais la ressent sans vie.

Reparle du fait que la maison soit un lieu refuge, mais ne souhaite pas que de grands espaces soient privatisés: des espoirs dans le bar qui pourrait devenir un lieu commun de rencontre.

Ne veut pas de système de domination.

• sam:

arrivé grace à tous, c'était un peu innatendu un peu comme un rêve; propulsé dans ce lieu.

Se sent bien ici.

Concernant ces dernières semaines, n'a pas tout compris à ce qui se passait et à mis ça de coté, et lu plus tard.

En mode atterissage.

A pas mal de “traumas”, et souhaite s'extraire des injonctions d'un collectif précédent.

Espoir d'être avec des gens qui viennent d'horizons différents.

Trouve de la richesse dans la différence entre chacunes.

• mylène:

a déjà eu des projets d’organisation de trucs à plusieurs.

pifidic à la base, c'est un cocon, douillet qui permet de faire des trucs avec de l'energie, mais finalement c'est plus.

Peu le temps parce que stage et du coup à raté ce début d'installation, autant en + que en -.

Bonne surprise à la rencontre de la team.

aime qu'on se réunisse, et ne blâme pas qu'on ai mis “longtemps” à se réunir.

aime l'idée qu'on soit différentes. importance de partager des valeurs, aime partager des valeurs et de l'engagement politique, mais ne demande pas à toutes que ça soit le cas.

est contente de pouvoir partager un atelier, des compétences.

Est aussi matelot (plusieurs mois en mer), et ne veut pas qu'on lui reproche de pas être là longtemps: ne se sent pas gérer un potager ou des animaux, pour des raisons de temps/présence et espère que ce soit ok.

chamboulée par les évènements récents, souhaite faire au possible(…), mais surtout qu'on en parle et qu'on s'organise.

Pas trop de peur.

Limites: l'humeur, essaie de comprendre les personnes qui sont différentes d'elle, et aimerait que tlm puisse le faire. espoir de la communication sans violence mais comprend qu'on puisse en avoir.

Se sent bien dans la colloc et dans la maison. Pas à l'aise avec le format chambre fermée. peut être une roulotte ?

• jeanne & alix:

projet initial = pas de charge avec le fait de pas être présent pendant un moment.

• Pablo:

Pas trop alaise a parler devant tt le monde,

comment arrive ici? j'ai pas initié, j'ai rejoint le groupe, je voulais quitter la ville, faire du jardin, pas idée du collectif a la base.

contente d'avoir trouve le groupe, en tant de projet, je vais voir, du jardin

j'ai pas tant de expérience collectif, j'suis plus dans l’incompréhension, devant ce qui ce passé dernièrement. à la base imaginait une colloc en plus grand mais ça peut se transformer

au niveau de politik, pas profiter tout seule de ce lieu, pas du tout anticipe ce truc de embourgeoisement de la campagne

j'aime bien les dynamiques collectives, fait d’être a plein fait qu'il y'a plein de trucs qui se passent, j'aime bien le chaos qui s'organise

j'ai besoin du temps pour trouver ma place comme j'ai pas encore vécu avec les autres, je savais pas comment trouver ma place dans “le groupe des 6”

aucune idée de mes limites,

•  pira:

c'est galere de se lancer, redecendue en emotivite, plus cap de parler

par hasard ici, aucun lien avec la bretagne avant cet été, je suis isolée je connais personne à part vous et elie dans les cotes d'armor, besoin de parler avec des gens de l’extérieur

je suis un peu perdue dans ma vie, les raisons pourquoi je suis venue ici? sentiment de manquer quelque chose ailleurs

je peux pas dissocier mon état perso avec ce qui ce passe ici

beaucoup de trucs me manquent ici, crew militant; repères

projet comme pifidic imaginé déjà avec un crew de copaines, et ca arrive maintenant, ça bouleverse des temporalités

attentes par rapport a avoir trouve ce lieu sur ruralité queer sur fb, trouver des allies ici

sujet important a parler parce que on est pas des mêmes bases, trouve ça chouette la diversité des gens mais complexe aussi car pas du tout les mêmes modes de fonctionnement ancrés, l'entre soi est a critiqué mais je lui reconnaît le confort que ça apporte en terme d'attente de communication etc

différences sont complexes mais surmontable, je reste tolérante, on commence,on avance ensemble, envie de pérenniser un fonctionnement collectif d'orga

j'ai des attentes de prise de position par rapport de ce que ça représente de être proprio de ce lieu, pas en faire pas juste un lieu de teuf, d'entre soi

écrire un texte pour se positionner?

peur:j'ai fuit le lieu ces derniers semaines, j'ai des fois du mal a parler de certains sujets, pas la même faculté que d'autres a monter en clash et vont plus rapidement pointer les choses problématiques, rapports complexes avec uli en cohabitation ces dernières semaines, ce qui m'a parfois pas aidé à communiquer

je la remercie beaucoup d'avoir dénoncé des dynamiques d'oppressions, des trucs que j'ai parfois moins remarquée, sentiment de culpabilité, j'ai bcp donné de temps d’écoute et d'attention, envie de le visibiliser, galère pour moi de supporter son addiction

j'ai un passif d'addiction a l'alcool dans ma famille, peur de retomber la dedans personnellement

j'ai atteint mes limites en terme d'écoute avec uli en ce moment, elle a un registre d’agressivité qui me bute

je suis inquiète de sa santé mentale, mais je me sens plus trop cap d’être en soutien, je vivrais le départ d'uli comme un échec

j'ai besoin de me trouver un espace au calme (caravane?)pour que ça se passe mieux avec uli, qu'on choisisse les moments ou on a envie de se parler et pas qu'on subisse

j'ai du mal a me projeter, parce que je suis tétanisée par des crises existentielles qui me cassent les couilles, j'ai passe ces derniers années a bouger, ça me fatigue d’être nomade, mais a la fois ça me fait peur l'encrage

ptet un jour je vais partir de pif' j'ai peur d’être enchaîné a un lieu, ça me fait du bien de parler de ça

je suis un bébé en bricolage, je me sens pas cap de lancer un projet solo, besoin d’être accompagné, 2 mois qu'on a sol qui moisit, je sais pas par ou commencer, je remercie Élie qui me soutient, c mon sentiment propre

j'ai vécu qq expériences de lieu collectif, ça me va d’être force de proposition, idée de vivre seule dans un appart solo me tétanise, ça me rempli de bonheur de vivre a 12 ici

vivre ensemble implique de faire des choses ensemble, pas seulement de travaux, la journée de travaux de nettoyage était trop bien, avoir des temps ou on se retrouve, soirée ciné, grosse bouffe, avoir des temps pour se faire du bien, ptit rdv pour faire des trucs ensemble

• alix

expérience pourrie a la zad, important de prendre soin du social, pas seulement valoriser le bricolage, pas senti d'autres personnes qui ont postulé en se représentant par leur capacités

• milene

chaude pour filer des coups de main, moi aussi j'ai des complexes par rapport plus au niveau intellectuel, j'ai pas fait d’études

• gagou par alix

déso de pas être la, en train de travailler, j'ai toujours voulu un lieu a la campagne, avoir un lieu ou faire ce que je veux, ça s'est concrétisé grâce a vous, je me sens isolé un peu

d'abord un lieu d'habitation, marre de vivre dans des colocs où je pouvais rien construire de perenne, et où je devais lâcher des thunes sans contrepartie à des proprios chiants

pas trop d’idée comment organiser, mais on va trouver

peur de pas se faire nouveau groupe d'amie, pas facile de quitter le reseau grenoblois

content qu'on se dit de pas avoir un devoir d’être militant, pas sein d'imposer une ligne, tout en respectant les limites de chacun, se pris pas mal de violences, peux en prendre encore un peu mais pas trop, souvent je réponds pas par peur d'être blessant sans le vouloir. Globalement la communication c'est pas mon point fort. J'y travail

• alix

des fois on veut que tout le monde s'aime, et du coup on dit n'importe quoi et ça marche pas

À partir d'ici, perte de la retranscription dû à un problème technique. La restitution est donc basée sur nos souvenirs

Pose repas délice au soleil devant le bar, il fait presque chaud maintenant.

• Point communication de groupe, prise de décision, organisation générale

La discussion tend vers l'idée qu'on manque généralement de communication. Le groupe signal ne suffit pas, l'information peut se perdre, et les messages peuvent être mal perçus.

Un consensus se dégage sur l'idée qu'il faut de façon régulière avoir des réunions, même si tout le monde n'est pas présent.On fixe pour l'instant une réunion par mois, dont nous décidons la date à chaque fin de réunion.

Concernant les décisions, on souhaite généralement inclure tout le monde. Si un consensus est trouvé en assemblée, il est par la suite proposé aux absents (possiblement via un pad) afin qu'ils puissent s'exprimer. Possibilité de prendre des décisions au niveau des groupes, par exemple sur des ateliers (Q: quelle largeur de décision un groupe peut-il prendre ?)

• Point thunes
  • tour de table par chacun.e sur sa situation financière. Avec les APL, c'est ok le loyer + charges, avec conscience qu'il n'y a pas encore de visibillité sur les frais réels de charges. Nos loyers paient les charges de tout pifidic+ le taxe foncière habitation+ poubelle.
  • Comment fait-on en cas d'abscence longtemps à pifidic par rapport au charge et au loyer? ( à partir d'un mois?) Pour le loyer, possibilité de sous location si ok pour tout le monde. Pour les charges ( par exemple Mylène et pira qui étaient pas mal absentes), ne pas hésiter à en discuter selon sa situation financière, on peut ajuster et équilibrer.no problemo
  • Les éventuels bénéfices de la sci pourraient être dégrévés du rsa. Mais ça reste encore flou
  • installation de Likken: n'a pas de revenu actuellement. Possilibité de faire un rsa couple pour les charges + loyer. peut donner ponctuellement selon des entrées d'argent.tout le monde ok pour qu'elle n'est pas à payer de loyer pour l'instant.
• Point bâtiment travaux
  • On a peu parlé des travaux, point reporté à une future réunion
• Point animaux
  • échange sur la charge de travail que représente les chèvres, établissement d'une liste des tâches perçues:
    • apporter du foin tout les jours (~ 1/2 botte)
    • retirer paille et crottes, à entasser sur le fumier (un peu derrière la serre)
    • recharger en paille propre, ça évite les maladies
    • entretien de l'enclos, qui a tendance à péter
    • il faut une présence chaque jour (vérifier si tout va bien, plusieurs fois par jour)
    • pendant le printemps/été, déplacement des chèvres pour varier les plaisirs gustatives sur le terrain ( zone marécage par exemple). il faut prendre en compte que l'installation d'une clôture temporaire prend aussi du temps.
    • aller chercher du foin ( une fois toutes les trois semaines en ce moment, c'est difficile de trouver du foin)
  • Il a été établi qu'un calendrier de gestion des chèvres allait être mis en place
  • discussion sur l'organisation
  • il semble cohérent que les 6 personnes de la SCI prennent en charge la présence des chèvre à Pifidic (financière et charge de travail) + toutes les personnes qui le souhaitent. On a pour l'instant proposé une organisation d'un roulement chaque semaine en binôme. En plus des 6, Pira et Likken + à confirmer Ulie, souhaitent faire partie de cette organisation .Mylène Sam et Mathilde ne souhaitent pas prendre cette charge mais se proposent comme relai remplacement ponctuellement pour les personnes qui s'abstenteront et si iels sont présent.es à pifidic.
  • cette organisation permettra de se rendre compte, si à l'avenir nous souhaitons d'autres animaux sur le lieu ( poules par exemple), de la gestion que cela implique.

• Organisation de l'espace
  • échange sur le fait qu'il y a eu incompréhension du à un manque de communication à l'arrivée de tout le monde (ie le salon de la maison)
  • perspective que le bar devienne ce milieu neutre où chacun peut se retrouver, tout en gardant un chez-soi où l'on se sent à l'aise.
  • discussion sur le fait que likken n'a pas de salon, et que elle peut considérer le salon de la maison (ainsi que sa salle de bain) comme le sien.
  • Discussion sur un planning pour la gestion des gens qui passent dans le sleeping. Pira propose qu'on y adjoigne une trame d'autogestion indiquant les infos de fonctionnement. Il est aussi proposé de mettre une boîte prix libre pour PÀF.
  • Il est aussi proposé d'établir un autre calendrier (à l'année?), dans lequel on renseignerait qui est absent du lieu, ainsi que les évènements

• fixer des bases politiques
  • on a parlé du fait de poser nos bases politiques communes, proposition d'ecrire un texte
    • craintes: tres difficile de se mettre a daccord sur des formulations, peur de s'enfermer dans des phrases, les oppressions systemiques semblent souvent plus claire et evident de ce qu'elles sont en realité

• Fixer une prochaine réunion
  • Une prochaine réunion est fixée au samedi 11 février, à 14h
    • on parlera de quoi?
      • nos envies, nos projets, tour de table
      • retour sur les decisions de la derniere reu, keski s'est mis en place, comment ca marche?
      • batiments/travaux
      • keskon doit faire?
      • comment? chantier co, qui participe
      • parcelle a recadrer, foncier truc
      • gentrification, c quoi notre role dans ce territoire